Sedona (Arizona), Septembre 2008
.. Je n'ai pas envie de vous parler en ce moment. Vraiment pas. Je
souhaiterais pouvoir mettre un masque et ne pas être ici. Mais je suis ici,
parce que dans mon cœur, dans mon esprit, dans tout mon être, je sais que nous
sommes engagés sur une voie qui glace le sang.
… Il y a sur toute la Terre des gens qui ont vécu des expériences
similaires aux miennes. Et nous attendons tous le bon moment pour nous lever à
l'unisson – à l'Unisson – et sortir de l'ombre et parler au
monde.
…et tout ceci s’est
immédiatement bousculé dans mon esprit. J’ai pensé "Ahhhh… Ça y
est !" Et il a insisté : "Avez-vous jamais
travaillé pour la CIA ou le FBI ?" Et bien sûr, j’ai 22 ans. Je
ne veux pas être mêlée à tout ceci. Je pense : "Pourquoi faut-il
que ça m’arrive ?"
Ce qui rend la chose fascinante c’est que, lorsque j’étais enfant, mon
père m’avait souvent raconté une histoire où un jour il était dans la rue à
Paris pendant la guerre –parce que, bien sûr, il est d’origine européenne – et
comment un homme l’avait abordé. Et ce que mon père m’a dit, c’est qu’on lui
avait demandé de faire partie de cette Armée Métapsychique, de l’Armée
Métapsychique russe.
Et il m’a toujours
dit : "S’ils te contactent, ne pars pas avec eux. Tu
comprends ? Ne pars surtout pas avec eux, parce que si tu le fais, tu
seras à eux."
…On m'a montré l'image d'un être dans une base souterraine qui…Ce qui
se déroulait là-bas était si inquiétant, si moche et si horrible qu'il m'a été
difficile d'être témoin de ça.
…"Que faites-vous ici ? Pourquoi ne pouvez-vous donc pas
simplement me fiche la paix ?" Puis je suis montée dans le
vaisseau.
… Quelle est cette grande nouvelle ? C'est que nous ne sommes pas
seuls, c'est qu'on nous observe, que ce que nous faisons est surveillé par
d'autres êtres qui possèdent sans le moindre doute certaines connaissances que
nous n'avons pas.
… J’ai vu l’avenir par leur intermédiaire, avec leur aide.
… Je le crois parce que l’on nous éveille pour que
nous puissions commencer à partager ces informations avec les gens, leur dire
que de grands changements vont se produire et que nous avons tous besoin de le
comprendre. Qu’il s’agisse bientôt d’un météore entrant en collision avec la
Terre, ou d’une guerre qui éclate, ou de famine, ou de changements au niveau de
la Terre – de quoi qu’il s’agisse – nous devons comprendre que l’Homme a la
capacité de changer cet avenir et ce qui devait s’y produire.
Début de l'interview
Kerry Cassidy : Bonjour,
je m’appelle Kerry Cassidy, de Project Camelot, et nous sommes ici avec Miriam
Delicado. Son site Internet s'appelle Alienbluestar.com, et elle a une histoire très intéressante à nous raconter. C’est une
Contactée et elle a des liens spéciaux avec les peuples Hopi et Maya, comme
nous allons le voir ultérieurement.
Bonjour Miriam, comment allez-vous ?
M : Très bien, merci. Merci infiniment de m’accueillir,
Kerry.
K. Vraiment.
C’est vraiment un plaisir. J’ai lu votre livre. C’est un livre
merveilleux. Et pourquoi ne commencez-vous pas par le commencement, par ce qui
vous est le plus facile, et ne racontez-vous pas votre histoire aux gens ?
Partons de là.
Miriam Delicado : O.K. Tout d’abord, c’est une histoire
riche, très riche, et il m’est difficile de transmettre aux gens l’histoire de
ma vie. Ce que j’ai essayé un petit peu de faire dans mon livre, Blue
Star –L’Etoile Bleue --, c’est de donner au public une idée des
nombreuses choses qui me sont arrivées.
Mes vingt dernières années ont été très intéressantes et j’y ai eu de
nombreux contacts avec des extraterrestres venus d’ailleurs. Et on m’a souvent demandé d’où venaient ces êtres. C’est une question
très importante et nous en parlerons donc un petit peu.
Mais donnons aux internautes une vue d’ensemble : vous savez, ma
vie a commencé dès le début de façon très bizarre, et mon enfance n’a pas été
ordinaire. J’ai commencé pour la première fois à me rendre compte que j’étais
différente autour de l’âge de deux ans. Et j’ai en fait des souvenirs qui
remontent à l’époque où j’étais bébé, et aussi… La plupart de mes souvenirs me
sont revenus quand j’ai eu à peu près deux ans.
Donc quand j’ai eu probablement autour de 9 ans mes capacités
psychiques ont commencé à se manifester et beaucoup de choses étranges à
m’arriver. Je faisais des rêves très saisissants et des tas de choses du même
genre que je ne pouvais vraiment pas expliquer.
Quand j’étais gamine, je jouais à un petit jeu qui consistait à
observer les gens des voitures… qu’on doublait. Et j’essayais de réfléchir à ce
qu’ils disaient ou pensaient dans leur tête. Et quand je le faisais, j’étais
fascinée par certaines des choses auxquelles je les entendais réfléchir. Mais
en même temps j’avais toujours la frousse, vous savez, qu’ils puissent
découvrir que je fouillais dans leur esprit, et je ne voulais surtout pas me
faire prendre en train de faire ça.
Donc, ça c’est pour moi un souvenir vraiment très précis, depuis ma
plus tendre enfance. Ce n’est plus quelque chose que je fais maintenant. Ce
n’est pas quelque chose que je fais consciemment, jamais, à aucun moment, parce
que bien sûr, il me faudrait demander à quelqu’un la permission de le faire.
Donc dès le tout début, j’étais un peu différente.
Et puis ma vie a continué, et mes capacités ont progressé et progressé.
Et, adolescente, je faisais toutes sortes de choses. J’avais des rêves
prémonitoires. Et puis, vous savez, pour utiliser des mots compris de tout le
monde, j’ai eu un certain nombre de visions qui se sont de fait réalisées dans
un délai très court. J’ai aussi rencontré des espèces d’êtres dont
je ne savais pas trop d’où ils étaient ou ce qu'ils… d’où ils venaient.
Et grandir était pour moi perturbant parce que, bien que je sache que
mon père possédait aussi certains dons, je ne me sentais pas suffisamment
proche de lui pour me permettre de lui en parler. Et cette simple raison
a rendu mes premières années difficiles.
Mon père était un
personnage intéressant de ma vie parce qu’il semblait posséder aussi certains
dons. Et quand nous étions gosses nous étions, vous savez, toujours un
petit peu mal à l’aise près de lui, parce que nous pensions qu’il savait
toujours ce que nous faisions.
Donc, et là je fais un bond en avant dans ma vie, nous sommes en 1988,
c’est-à-dire il y a 20 ans, j’ai trouvé intéressant cette rencontre avec des
extraterrestres sur une autoroute du nord de la Colombie Britannique. Et c’est
une rencontre physique qui a eu lieu, et elle a changé toute ma vie.
Mais quand c’est arrivé, j’ai su presque immédiatement que mon père
avait eu des contacts, simplement parce que… certaines des choses dont mon père
avait l’habitude de nous parler étant gosses correspondaient à ce que disaient
ces êtres – comment le monde allait finalement changer, et comment il nous
fallait apprendre à survivre, et ce qu’il fallait qu’on fasse. Des choses de ce
genre. Donc j’ai toujours su qu’il avait été contacté.
K : Est-ce qu’il ne travaillait pas également pour les…
vous savez, une agence, les services… vous savez bien, à un poste quelconque
dans les Renseignements ?
M : Pas à ma connaissance.
K : Parce que vous dites qu’on l’a approché. Et il vous a aussi dit de vous méfier si on prenait contact avec vous un
jour. N’est-ce pas exact ?
M : Si.
K : Et
comment pouvez-vous le savoir à moins, vous savez, qu’on ne vous ait
abordée ?
M : C’est
une histoire très intéressante que mon père me racontait dans mon enfance.
C’était une histoire passionnante qui m’a toujours mise vraiment mal à l’aise,
vous savez, et je ne savais pas du tout de quoi il parlait. Donc il faut que
j’aille plus loin dans le temps, après 1988.
C’était deux ou trois
ans plus tard et je travaillais dans une petite crèmerie. Et c’est vraiment une
pièce fascinante de ce puzzle qu’est ma vie, et même aujourd’hui encore je m’en
méfie personnellement encore un peu.
Donc ça se passait une
paire d'années après 1988 et je travaillais dans cette crèmerie. Et ma journée
était normale ou du moins j’essayais de la rendre normale. C’est alors que cet
homme est passé devant la vitrine et m’a regardée sans ciller, son regard fixé
dans le mien.
Et en le faisant, il a franchi la porte, est arrivé jusqu’à moi, m’a
regardé droit dans les yeux, et m’a demandé : "Est-ce que vous
travaillez pour la CIA ou le FBI ?"
Et j’ai répondu :
"Non ! "Et tout ceci s’est immédiatement bousculé
dans mon esprit. J’ai pensé "Ahhhh… Ça y est !" Et
il a insisté : "Avez-vous jamais travaillé pour la CIA ou le
FBI ?"
Et bien sûr, j’ai 22
ans. Je ne veux pas être mêlé à tout ceci. Je pense : "Pourquoi
faut-il que ça m’arrive ?" J’ai répondu : "Non,
jamais."
Ensuite il s'est mis à me dire : "Avez-vous jamais songé à
travailler pour les Russes ?"
Et bien sûr j’ai répondu : "Sûrement pas!"
Et il a continué en me racontant comment les Russes travaillaient
depuis très longtemps avec des gens comme moi. Et que, si je me joignais à eux,
je ne serais plus jamais seule, que je serais entourée de gens comme moi. Et
j’ai répondu que ça ne m’intéressait pas.
Et en fait il parlait du Programme Métapsychique. Et il m’a dit que le
Programme Métapsychique existait depuis très longtemps, et que bien sûr j’étais
au courant de tout. Et moi, très gentiment, très poliment, avec un beau
sourire, j’ai regardé cet homme et je lui ai dit que cela ne m’intéressait pas.
Et il a insisté, en disant : "Est-ce que vous vous
rendez compte de la force de votre personnalité ?"
Et je lui ai souri et j’ai répliqué : "Oui, je me
rends très bien compte de la force de ma personnalité."
Et il a poursuivi : "Mais savez-vous maîtriser vos
capacités ?"
Et j’ai répondu : "En
fait, oui."
Et ensuite il m’a dit
que malgré ça ils aimeraient beaucoup travailler avec moi ; et moi je leur
disais que c’était exclu. Je lui ai répondu : "Ce que
j’aimerais que vous fassiez, c’est que vous retourniez voir les gens qui vous
ont envoyé ici, que vous les remerciiez beaucoup de leur intérêt et leur disiez
qu’ils n’ont vraiment aucune raison de revenir, parce que je ne serai jamais
intéressée."
Ce qui rend la chose
fascinante c’est que, lorsque j’étais enfant, mon père m’avait souvent raconté
une histoire où un jour il était dans la rue à Paris pendant la guerre –parce
que, bien sûr, il est d’origine européenne – et comment un homme l’avait
abordé. Et ce que mon père m’a dit, c’est qu’on lui avait demandé de
faire partie de cette Armée Métapsychique, de l’Armée Métapsychique russe.
Et il m’a toujours
dit : "S’ils te contactent, ne pars pas avec eux. Tu
comprends ? Ne pars surtout pas avec eux, parce que si tu le fais, tu
seras à eux. Tu ne pourras pas courir te cacher parce qu’ils te retrouveront
grâce à leurs facultés psychiques."
Et bien sûr cela m’a
toujours beaucoup effrayée. Et je ne voyais pas l’intérêt de grandir.
Mais à cet instant précis, dès que l’homme est entré dans le magasin et m’a
dit : "Est-ce que vous travaillez pour la CIA ou pour le
FBI ?" Je savais exactement qui il était, ce qu’il allait me
demander là, et je n’avais aucunement l’intention de paraître intéressée. Et je
n’ai absolument pas envie de travailler pour qui que ce soit de
cette façon-là.
K : O.K. Ah oui. Je me rappelle avoir lu cette histoire
dans votre livre et je la trouve très révélatrice. Je pense que votre père
avait… quoi ? Peut-être du sang amérindien quelque part ? Il doit
certainement avoir, je ne sais pas, quelque chose d’européen… A quoi ressemble,
diriez-vous, votre patrimoine au niveau génétique ?
M : Ma mère est allemande, et pour autant que je sache,
elle est allemande de pure souche. Mon père est yougoslave. Et, pour autant que
je le sache… L’histoire de sa famille remonte loin, très très loin, je crois
qu’il y a des origines très intéressantes de ce côté-là. Mais je ne serais pas
honnête envers lui ou envers quiconque si j’affirmais quoi que ce soit, parce
que je n’en suis pas sûre.
Mais en ce qui concerne le sang amérindien, non, je ne crois pas. Mais
pour ses liens du sang, si quelqu’un veut chercher, cela pourrait remonter très
loin, je veux dire, vous savez, même des milliers d’années. Je pense que ce
serait passionnant de voir où ça mène.
K. : O.K. Venons-en à votre incident de 1988 et
parlez-nous-en un peu plus, faites-en le tour, si vous voulez bien.
M. : En 1988 je vivais la vie normale et classique d’une jeune
adulte. Je venais de quitter une petite ville pour habiter la grande ville de
Vancouver, en Colombie Britannique. Mes amis et moi avions décidé d’aller en
voiture jusqu’à ma ville d’origine. Et à l’aller tout a été normal. Nous avons pris le volant et tout allait bien. Mais au retour, les
choses ont été tout à fait, tout à fait, différentes.
Nous étions quatre,
quatre adultes, plus une jeune enfant dans la voiture. Et le voyage… nous roulions
depuis des heures. Je dormais sur la banquette arrière de la voiture. Et
la nuit a commencé à tomber. Les conducteurs voulaient une pause,
ils sont donc allés occuper la banquette et je suis passée à l’avant avec mon
amie, moi sur le siège passager. Et tout de suite après ces grosses boules de
lumière… elles ressemblaient en fait à des phares de camion ; c’est ce que nous
avons pensé pendant très longtemps… elles nous suivaient et se sont rapprochées
très rapidement de nous, en éclairant l'intérieur de la voiture. Et nous
nous demandions pourquoi elles se déplaçaient aussi vite.
En fait ces lumières particulières nous ont suivis dans l’obscurité
pendant des heures et des heures. Et chaque fois que nous nous rapprochions
d’une voiture ou de n’importe quelle maison, elles ralentissaient et
disparaissaient.
Donc après des heures de ce petit jeu, nous avons finalement traversé
une ville où nous pensions nous être enfin débarrassés des lumières. Et dès que
nous sommes arrivés à la sortie de la ville, dans une zone de forêt, au moment
même où nous disions : "O.K, nous sommes sauvés. Elles ne
peuvent plus nous rattraper…" littéralement une fraction de
seconde plus tard, les voilà à nouveau, ces boules de lumières qui devaient
faire à peu près cette taille [Miriam écarte les mains d’environ 30 cm].
Et elles se sont placées derrière nous. Et puis –pouf !—juste à ce
moment-là, et ça après des heures où elles avaient apparu et disparu, apparu et
disparu, en un clin d’œil. Donc mon amie est devenue très, très
nerveuse, et moi aussi. Ces événements nous rendaient toutes les deux très mal
à l’aise, et les passagers de la banquette dormaient toujours.
Tout d’un coup je lui
ai hurlé : "Gare-toi vite sur le côté ! Ça n'est pas
vous qu’ils veulent. C’est moi !" Et j’ai saisi le volant
pour la faire se garer quand, tout à coup elle s’est plus ou moins effondrée
mollement, vous savez, comme une poupée de chiffon, la tête en arrière et elle
a ralenti et s’est arrêtée au bord de la route.
Et entre-temps la voiture était baignée de lumière venant de partout.
Et les fameuses boules de lumières attendaient derrière la voiture. Donc, à cet
instant précis –j’étais la seule à être consciente à ce moment-là – quand j’ai
regardé à nouveau vers l'avant de la voiture, j’ai vu un vaisseau spatial sur
la route.
Bon, je ne pouvais pas voir grand-chose parce qu’il semblait presque
perdu dans la brume et qu’il était très, très brillant. Et des êtres d’à peu près 1,20 m de haut marchaient… marchaient dans ma
direction. Ils étaient très androgynes d'aspect, ils ressemblaient presque à
des enfants. Et ils avaient de grands yeux noirs, ronds. Ils
n’avaient pas du tout les yeux ovales. Ils avaient des yeux noirs et
ronds.
Et ils voulaient que je sorte de la voiture, ce que j’ai fait. Et
j’étais très affolée. Je n’étais pas terrifiée pourtant, et il faut faire ici
la différence. Je n’étais pas terrifiée. J’étais affolée.
Donc, j’ai quitté la voiture. Ils m’ont fait suivre un peu la route, et
à ce moment précis je ne pensais même pas à mes amis. Je me demandais
simplement où ils m’emmenaient.
Sur le talus, à gauche… Ils m’ont fait grimper le talus où, en levant
les yeux, j’ai vu un vaisseau plus grand et deux êtres debout dans l’embrasure
de l’ouverture d’accès. Ils étaient blonds – je veux dire blonds au point d’en
avoir les cheveux blancs – et avaient des yeux du bleu le plus vif -- le bleu
de la mer Méditerranée -- qu’on ait jamais vu, à peine croyable. Et les êtres,
les petits êtres, m’ont amenée au vaisseau, et quand je suis arrivée à
l’embrasure, je suis montée à bord du vaisseau.
Mais ce qui était intéressant c’est que, juste avant que tout ceci se
produise, j’avais fait un rêve lorsque j’étais assise à l’arrière de la
voiture. Et dans ce rêve un homme et une femme m’avaient
dit : "Nous allons bientôt venir te chercher. N’aie pas peur.
Nous sommes tes amis. Nous sommes ta famille. N’aie pas peur."
Et ensuite, quand j’ai
vu ces deux grands êtres, au moment même où j’ai posé les yeux sur eux, j’ai
dit dans ma tête : "Que faites-vous ici ? Pourquoi
ne pouvez-vous donc pas simplement me fiche la paix ?" Puis
je suis montée dans le vaisseau.
K : Et est-ce que vous vous êtes rappelée ce qui s’est
produit alors dans le vaisseau ?
M : Dès le moment où j’ai quitté le vaisseau, j’ai eu
des souvenirs très précis. Et j’ai ces souvenirs précis depuis vingt ans.
K : Des souvenirs précis de ce qui est arrivé à
l’intérieur du vaisseau ? Où simplement des souvenirs précis
jusqu’à ce moment-là ?
M : Les deux. Une fois à bord du vaisseau, je me
souviens d’une grande partie des choses qui me sont arrivées. Mais je ne me
souviens pas de tout ce qui s’est passé pendant ces trois heures. Non. Et je ne
sais pas si je m’en souviendrai un jour ou pas, parce que jusqu’à maintenant…
Je veux dire, je ne me suis pas fait hypnotiser pour récupérer mes souvenirs.
Donc il est très important pour moi de signaler à tous ceux qui nous regardent
que ces souvenirs viennent de souvenirs conscients.
Donc, en d’autres termes, je suis entrée dans le vaisseau, j’y ai fait
cette rencontre. Il m’a fallu un certain temps, mais j’ai fini par comprendre
qu’il s’était écoulé trois heures en tout. Je l’ai déduit par des calculs. Donc
il y a eu trois heures de temps manquant. Et je me rappelle une grande partie
des informations qu’ils m’ont données à l’époque.
Il y a eu, ah… Il y a eu des choses qui me sont restées si nettement
qu’en ce moment même, devant vous, je vois encore les images en esprit chaque
fois que j’entends parler de… vous savez…
K : Pouvez-vous nous donner une idée de ce qu’on a
voulu vous communiquer à l’époque ? Et est-ce que cela a
un rapport avec votre présence ici maintenant, à Sedonia et Hopiland, dans la
région des Four Corners ? [Mot à mot, "Les Quatre Coins" : le
nom donné au lieu où se coupent à angles droits les frontières de quatre Etats
: Arizona, Utah, Colorado et Nouveau-Mexique. (NdT)]
M : Le
rapport est évident. On m’a communiqué des messages il y a vingt ans. Et ces
messages et ces informations étaient à mes yeux si limpides que deux jours
après mon départ du vaisseau j’avais une idée très nette de toutes mes
capacités psychiques, de leur origine, et comment je les avais acquises, et
pourquoi.
J’ai compris mon père
comme jamais auparavant dans ma vie. Je savais qu’on l’avait contacté. J'avais
la certitude qu’il y avait beaucoup d’autres gens comme moi dans le monde et
qu’il existait un lien entre toutes ces éléments.
Et deux jours plus
tard j’ai commencé à prendre beaucoup de notes de tout ça. Je n’ai absolument
pas tout pris en notes, mais j’ai mis sur le papier certains
points importants. Cependant, même avec leur aide, je n'ai pas compris à
l'époque tout le contenu de ces informations, mais il était question des Four
Corners comme d'une des "zones protégées", au cours de ce qu'ils
appelaient les Temps de la Fin – si ces Temps de la Fin arrivent bien comme ils
nous en ont avertis.
Donc ils m'ont
prévenue de futurs possibles au cours desquels la planète pourrait subir des
destructions, et les gens vivre une période très difficile.
Maintenant ces mises
en garde ne concernaient que des éventualités, mais ils ont clairement insisté,
de manière limpide même, sur le fait que l'humanité avait le choix entre suivre
jusqu'au bout le chemin menant à sa destruction, ou un autre, positif.
Donc, on m'a raconté
beaucoup de ces choses il y a vingt ans. Mais, si on approfondit un petit peu,
ils m'en ont aussi dit beaucoup sur la région des Four Corners en particulier.
Donc, bien sûr à
l'époque, alors que j'essayais de digérer toutes ces informations, je n'ai pas
vraiment compris ce qu'ils disaient, que cette zone particulière était une
"zone protégée", et qu'il y aurait à ce moment-là des gens qui s'y
rassembleraient.
La zone des Four
Corners est vraiment importante aux yeux de ces êtres et c'est parce qu'elle
est un des points centraux de la Terre, un endroit où beaucoup de gens se
rassembleront. Et ça ne veut pas forcément dire que tout le monde doit faire
ses bagages, et partir pour la région des Four Corners parce que c'est une
"zone protégée".
Ce que ça veut dire, c'est que, même si quelqu'un voyage dans la zone,
il aura la capacité de recevoir, directement en lui-même, des informations qui
l'assisteront et l'aideront à savoir où il doit se trouver sur cette planète.
Si un grand cataclysme a réellement lieu, certains lieux
sur Terre seront situés dans des zones protégées. Mais ça ne signifie pas que
vous serez capable d'y aller ou qu'on s'y occupera de vous. Ça veut simplement
dire qu'il y aura moins de destructions, mais ce sera encore le chaos. Il faut
que ceci soit clair pour tout le monde, et aussi qu'il y a des endroits sûrs et
des zones protégées sur toute la Terre.
Les peuples autochtones sur toute la surface du globe savent ceci
depuis des millénaires, ce sont eux qui sont au courant de tout ce qui concerne
ces zones spéciales. Et si nous jetons un coup d'œil à
leurs mythes, nous serons capables de trouver ces renseignements.
Et, en même temps, ils
conservent toutes ces informations depuis des milliers d'années, si bien que,
au cas où nous aurions besoin d'en savoir plus, tout le monde serait mis au
courant. Donc, c'est vraiment important. Les Hopi, comme d'autres sur la
planète, ont leur rôle à jouer dans tout ceci.
Bon, il faut que ce que je vais dire soit bien compris, parce que j'ai
effectivement des amis parmi les Hopi. Et j'ai parlé à des gens là-bas, mais je
ne suis absolument pas leur porte-parole, et je ne parle pas non plus du tout
en leur nom.
Donc ce que je vais faire, c'est partager mon expérience avec vous. Je
ne vais pas vous parler des Hopi. Je vais simplement partager avec vous mes
expériences liées à eux.
K : Peut-être pourriez-vous nous indiquer d'où vient ce
lien, par exemple. Ces êtres de 1988, ils vous avaient en quelque sorte demandé
de le créer. Je suppose que c'est aussi à ce moment-là qu'on vous a demandé de
vous rapprocher à un certain moment des Hopi. Il y a eu aussi ce… je ne sais
pas si c'était une pierre ou un collier, ou quelque chose que vous possédiez,
que vous avez enterré derrière votre maison ? Est-ce que vous voulez bien nous
raconter cette histoire, avant que nous passions plus ou moins à la vue
d'ensemble ?
M : Oui. La relation qui existe entre ces êtres et les Hopi,
par exemple. … Une fois de plus, ça vient seulement de mes expériences
personnelles et c'est fascinant. Même pour moi.
Lorsque j'étais à bord du vaisseau, j'étais assise sur ce que
j'appellerai une "chaise de lumière", et c'était… on pouvait la
regarder tout comme celle-ci [Miriam montre la chaise sur laquelle elle est
assise]. Simplement, au lieu d'être une chaise, elle
était faite de lumière pure, donc elle rougeoyait presque. Je me suis
assise sur cette chaise, j'ai regardé l'autre bout de la pièce, et j'avais un
être de chaque côté de moi. Et un écran est apparu brusquement.
Un très grand écran, en fait. Il faisait à peu près ceci… aussi
grand que la chaise et… 60 à 90 cm de haut. Et des informations
sont apparues sur l'écran pendant que je le regardais. Et des images.
Ces images étaient
accompagnées d'informations que me donnaient ces êtres, soit par télépathie ou
– je veux dire qu'ils me parlaient directement – ou alors j'avais l'impression
qu'on faisait entrer dans mon esprit un flux constant d'informations.
Entre autres choses
ils m'ont parlé de la création de l'Homme. Et ça a un grand rapport avec les
Hopis et tous les peuples indigènes, mais aussi avec nous.
Donc, pour abréger,
ils ont expliqué qu'ils avaient contribué à créer l'humanité, mais qu'ils
n'étaient pas Dieu, pas du tout. Qu'ils aidaient la Terre pour s'assurer que…
qu'ils étaient des surveillants, si bien qu'ils étaient ici pour suivre de près
la Terre, pour aider l'humanité à progresser.
Donc, au début la vie
a été créée, mais rien n'en est sorti. Donc ils ont… On peut dire qu'ils ont
jeté des graines de vie sur toute la terre, seulement pour voir ce qui allait
arriver. Et l'idée c'était qu'un vaisseau allait être fabriqué pour que
les étincelles de vie – nous – puissent ensuite venir expérimenter la vie sur
ce monde. Mais rien n'en est jamais sorti.
Dans le Deuxième Monde, ils ont donné à cette vie une forme plus
élaborée, mais ils pensaient toujours qu'elle évoluerait en quelque chose de
plus complexe. Et à nouveau, rien de vraiment valable n'en est sorti.
Dans le troisième Monde qu'ils ont créé… Il s'agit toujours de ce qu'on
m'a dit et montré. Et dans le Troisième Monde, ils ont dit que la forme –
c'est-à-dire notre corps – a été créée, et qu'ensuite l'âme a été placée dans
ce corps. Et quand ils l'ont fait, nous avions toute cette connaissance ; nous
avons été capables de communiquer les uns avec les autres. On possédait la télépathie. On avait une capacité de compréhension bien
supérieure à celle qu'on a maintenant.
Mais c'était comme
donner des allumettes à des enfants sans leur permettre d'évoluer,
particulièrement d'un point de vue émotif, ni d'être capable de gérer toute
cette connaissance. Donc ils sont devenus plus ou moins fous. Ils ont trop joué
avec tout. Ils devenaient destructeurs. Et ils ont agi de manière tout à fait
sinistre et malfaisante.
Donc le monde a été de
nouveau plus ou moins nettoyé à fond, essuyé, et encore une fois, de nouveaux
véhicules ont été créés – je veux parler des corps que nous avons maintenant. Donc
l'"humanité" a lentement évolué au fil du temps.
Entre temps, il s'est produit que… Dans ce troisième Monde, on m'a
montré une image de ces gens-là. J'avais l'impression de les voir d'en haut. Et
je regardais en bas dans la pièce et je les ai vus. Et on m'a dit que ces
gens-là vivaient la vie qu'on avait prévue pour eux, une vie spirituelle.
Et donc, parce qu'ils
possédaient cette grande connaissance, et parce qu'ils comprenaient réellement
pourquoi ils étaient là et que leur corps donnait entière satisfaction, on les
a épargnés et transférés du Troisième Monde dans le nôtre, le Quatrième Monde.
Or, parmi les choses
qui me sont arrivées dans cette vision, on m'a dit qu'un jour je trouverai ces
gens-là et que je saurai quoi faire.
Donc quand je suis allée dans la région des Four Corners pour la toute
première fois en 2003, je savais que je devais contacter les Hopi, mais je ne
savais pas pourquoi. Tout ce que je savais, c'était qu'il y avait une raison à
ça, que c'était une raison très sérieuse et que c'était très, très important.
Donc quand j'ai contacté les Hopi, j'ai eu ce que j'appellerai un
"flash psychique", où j'ai vu certains de ces Hopi et où ils se sont
modifiés là devant mes yeux. Et c'est pendant ce flash que j'ai eu toutes les
visions qui m'ont été données à bord du vaisseau, j'ai ainsi vu tout ce qu'ils
voulaient que je fasse, et aussi ce qui se produisait sur Terre, d'où nous
venions, et où nous allions.
C'était tout
simplement hallucinant. Il y avait tant de choses ! Mais, très important,
j'ai compris que c'était bien les Hopi qu'ils voulaient que j'aille trouver.
J'ai compris que les Hopi étaient ces individus qui avaient été transférés –
"individus" voulant dire ici le peuple – qui avaient été transférés
du Troisième monde dans le Quatrième, et qu'à notre époque ils avaient une
grande mission.
Donc je n'étais pas surprise du tout de les rencontrer. Et leur rôle
sur cette planète est très important pour notre avenir à tous.
J'espère, et je l'espère de tout mon cœur, que nous tous – je veux dire
les Hopi, les peuples autochtones du monde entier, et tous ceux qui comprennent
la nécessité d'aider notre planète, se soucient ou ressentent le désir ou le
besoin passionné de le faire – j'espère que nous nous réunirons sincèrement et
que nous serons capables de quitter ce chemin de destruction que l'on m'a
montrée.
K : Vous êtes venue chez les Hopi, pourtant, et vous y avez
été amenée grâce à une intéressante série d'événements. Et puis aussi… et je ne
sais pas trop, cela peut nous entraîner au-delà de 2003… mais cette rencontre
que vous avez vécue… Et je ne connais pas son nom. C'est, je crois, un des
anciens des Hopi. Et finalement vous avez séjourné chez lui.
Est-ce que vous voulez bien nous raconter un peu cette histoire ? Parce
que c'est… C'est vraiment passionnant, dans la mesure où vous êtes là, vous une
totale inconnue, une blanche, dans cet environnement tribal, et de manière
assez étrange ils semblent vous avoir acceptée et accueillie parmi eux.
M : En 2004 j'y suis retournée, de moi-même. Et au cours de
ce voyage-là, j'ai su ce qui allait arriver, avant même de partir. Et j'étais
très inquiète.
Au cours du premier
voyage, j'avais acheté une bague dans un petit magasin chez les Hopi. Et
quand j'y suis retournée en 2004 j'ai parlé à la femme qui me l'avait vendue.
Et j'essayais de lui raconter quelques-unes des choses qui m'étaient arrivées.
Et la manière dont j'en ai parlé… Je n'arrêtais pas de lui dire que j'avais eu
ces visions, ou que j'avais fait ces rêves-là, et comment j'en étais arrivée à
obtenir toutes ces informations. Et ce que je lui racontais la sidérait.
Et elle m'a répondu : "Je pense que vous devriez en parler
à un de nos anciens." Donc elle a hésité pour savoir à qui
elle allait m'envoyer. Puis elle m'a dit : "Allez sur cette mesa. C'est là
où se trouve cette personne. Voici son nom."
Et je me suis dit :
"Ouah!.. Ça y est !" Je savais que ça allait
arriver.
Donc je vais sur cette mesa et trouve mon homme. Et au départ il
n'était pas vraiment surpris de me trouver à sa porte. Et il a tourné autour
du pot, en disant quelque chose comme :"Qu'est-ce que vous faites ici ?
Je ne peux pas vous aider."
Et j'ai répondu : "Non,
je suis simplement ici pour partager ceci avec vous. C'est tout."
J'ai donc raconté à
nouveau cette histoire étonnante, comment j'ai eu ces visions et fait ces rêves
à propos de certaines choses et comment j'avais trouvé qu'ils correspondaient
tout à fait aux prophéties hopi. Et que non seulement ils correspondaient.
Qu'en fait ils étaient presque – presque – identiques par leur nature. Et que
leur récit de la création, une fois de plus, était exactement le même que celui
qui m'avait été donné par les grands êtres blonds.
Donc je lui ai tout raconté. Et finalement il m'a regardée et m'a
dit : "Un moment. Est-ce que vous parlez de…?" Il
s'est plus ou moins penché par-dessus la table et m'a demandé : "Est-ce
que vous parlez d'aliens ?"
Et j'ai pensé : "Ouf
!..". C'était un tel soulagement ! J'ai ressenti un grand
soulagement à cet instant-là parce que devais attendre qu'il en parle de
lui-même. Et j'ai répondu : "Oui". Et il a insisté : "OK.
OK, maintenant parlez m'en. Racontez moi donc cette histoire."
Donc j'ai continué mon récit, et il m'a semblé qu'il comprenait et
savait de quoi je parlais Et à un moment -- je venais de lui parler
plusieurs heures, vous savez, il m'a regardée et m'a demandé : "Pourquoi
êtes-vous venue ?"
"Je suis venue partager ceci avec vous."
"Non. Pourquoi êtes-vous venue ? Je ne comprends pas." Et
ça semblait le troubler.
"Eh bien, je voulais simplement partager avec vous cette
histoire."
"Vous savez, des gens viennent me voir du monde entier." C'est son cas. C'est celui des Hopi. Des gens viennent les voir du monde
entier.
"Ils viennent
avec des récits similaires, mais pas comme celui-ci." Il a continué : "Ils viennent tous ici et ils me posent des
questions. Et vous ne m'en avez pas posé une seule. Pourquoi
?"
"Quelle question est-ce que je pourrais vraiment vous poser ?
J'ai déjà toutes les réponses."
Ça l'a donc rendu encore plus nerveux. Et ça n'est pas parce que je
crois avoir toutes les réponses. C'est parce qu'en ce qui me concerne
personnellement, je n'ai pas besoin de ce que peut me raconte un Hopi. Je sais
ce que je dois savoir et ça me suffit.
Or, ce qui est arrivé
après un certain temps avec lui est encore plus passionnant, parce qu'à un
moment je suis partie. Il m'a demandé de m'en aller parce que quelqu'un
arrivait chez lui. J'ai quitté sa maison. Et j'ai marché le long de la mesa, et
j'ai commencé alors à me diriger vers le foyer de la femme qui m'avait vendu la
bague. Elle m'avait dit où elle habitait. Sa fille
était dehors. Donc j'ai commencé à bavarder et me suis assise près
d'elle.
Peu de temps après, elle s'est mise à parler hopi avec une de ses
amies. Et je pense que c'est à cet instant-là que je me suis dit : "Ça
y est. Il ne reste plus la moindre question". Parce qu'à ce moment
précis elle a prononcé un mot en hopi que je me suis rappelé avoir entendu
utiliser par ces grands aliens blonds lorsqu'ils m'ont parlé. Et j'ai demandé à
la petite fille : "Qu'est-ce que ça veut dire ?" et
elle m'a répondu : "Ça veut dire « Merci » ; c'est la
façon de dire merci à une femme en hopi." Et j'ai dit :
"Ouah ! C'est stupéfiant !"
Donc nous nous sommes promenées toutes les deux un petit peu aux
alentours, et je suis entrée chercher une boisson gazeuse dans ce petit
magasin, quelque chose à boire. Et alors que j'étais dans le secteur, j'ai
soudain entendu dans ma tête : "Que fais-tu ici ?" C'était
très clair, comme si on était juste à côté de moi.
Et quand j'ai regardé sur ma droite, en direction du grand comptoir,
j'ai vu un de ces êtres debout au comptoir : cheveux blonds, yeux bleus. Ils mesurent, je ne sais pas moi, probablement autour d'1 m 95, solides
comme s'ils avaient travaillé toute leur vie dehors – l'air vraiment, vraiment
costaud.
Et il m'a dévisagée et il a répété : "Que fais-tu ici
?"
Et je lui ai répondu : "Eh bien, je rentre à la maison.
Que faites-vous ici ?" Vous savez, sur le ton de "Pourquoi
vous me posez cette question ?"
Il n'y a pas eu conversation, mais je savais qui il était,
parfaitement. Et j'avais envie d'aller vers lui et de lui dire : "Oh,
que faites-vous donc ici ? Asseyons-nous et parlons un peu." Mais
je me suis contentée de reprendre mon chemin avec cette petite fille, en
pensant : "Non. Ça n'est pas le bon moment."
En quittant l'endroit, j'ai demandé à la petite fille : "Tu
as vu l'homme qui était là-bas ?"
"Ouais."
"Est-ce que tu l'as reconnu ?"
"Non, c'est la première fois que je le vois."
"O.K." Donc j'ai pensé : "Ouah !
C'est vraiment bizarre !"
A propos de ça il y a quelque chose dont j'aimerais parler, quelque
chose qui n'est pas dans le livre, mais qui est fascinant, et qui a rapport
avec ça.
Mais continuons. Je suis retournée chez l'ancien. Et ensuite je lui ai
dit : "Voici ce qui est arrivé quand j'étais avec la petite fille.
J'ai reconnu ce mot qu'elle a dit comme étant un de ceux prononcés par ces
êtres quand ils m'ont parlé."
J'étais donc assise là, à la table de cet ancien, et j'ai sorti de ma
poche un morceau de papier que j'ai déplié. Et j'ai dit : "Voici
la langue dans laquelle ils m'ont parlé." Et j'ai poussé
vers lui le papier. Pour qu'il essaie de…
Je lui ai dit : "C'est écrit phonétiquement, parce que je
ne savais pas comment écrire ça."
Il m'a répondu : "Bon. Et si vous me prononciez simplement
les mots ?"
Donc je les lui ai lus. Et en le faisant, j'ai constaté que six au
moins des mots qui étaient sur la feuille étaient du hopi. Un mot, sûr, j'en
suis certaine, est du navajo. Et il m'a dit qu'il pensait que d'autres mots sur
ce papier étaient aussi du navajo.
Donc ces êtres… En 1988, alors que je n'avais jamais été en contact du
tout avec des Navajos ou des Hopi, sous quelque forme que ce soit, et que
j'étais une jeune fille de 22 ans à la vie très normale, ces êtres m'ont parlé
dans une langue que je connais depuis 20 ans maintenant. Je savais déjà à
l'époque qu'un jour je trouverais les gens à qui appartenait cette langue.
Seulement je ne m'attendais pas à ce qu'ils soient hopi. J'ai toujours pensé
que je les trouverais dans la jungle sud-américaine ou un coin du même genre.
[Rires de Kerry]
Donc l'être que j'ai vu sur la mesa… Quand je suis rentrée chez moi
après ce voyage de 2004, je suis allée dîner avec un ami à moi, et je lui ai
tout raconté à propos du voyage et du reste. Nous avons pris sa voiture. Sa femme
et lui étaient assis à l'avant. J'étais assise à l'arrière, derrière le
conducteur, avec sa fille de 9 ans à ma droite.
Donc, alors que nous descendons une rue très encombrée de Vancouver,
vraiment très encombrée, une des plus grandes artères, une Jeep se met à rouler
à côté de notre voiture. A ce moment je jette un coup d'œil,
et je vois assis dans la voiture un être blond aux yeux bleus, la tête
complètement tournée vers moi, et qui me regarde droit dans les yeux, sans même
s'occuper de la route. Il ne regardait pas du tout la route. Il était là, la
tête… il me dévisageait, rien d'autre. Et j'ai pensé : "Pas
question !" C'était tout ce que je pouvais penser.
Mais voilà le grand
moment. La petite fille a dit : "Oh mon Dieu. Regarde cet homme.
Il a l'air si bizarre. Il n'a même pas l'air humain." [Miriam
rit]
K : [rit]
M : Tout le
monde dans la voiture s'est enfoncé dans son siège et a pensé… vous savez, on a
tous essayé de jeter un coup d'œil à cet homme. Et là encore, j'avais
confirmation de tout ça par quelqu'un d'autre.
Et au cours des deux semaines qui ont suivi mon retour de voyage, j'ai
eu trois rencontres du même genre : une dans un magasin, une autre dans un bus
urbain, et puis celle où j'étais en voiture avec des amis. Très étrange. Très,
très étrange. Fascinant, même pour moi.
K : O.K. Peut-être pourrait-on avancer maintenant vers
quelque chose de plus actuel et parler de ce que vous avez entendu, et
peut-être communiquer un peu sur… comment vous avez commencé à sortir de
l'ombre. Et particulièrement comment vous en êtes arrivée à écrire votre livre.
Parce qu'il faut que je vous dise que j'ai entendu parler de vous par…
Je pense que je vous ai entendue brièvement dans une émission radio, et puis
j'ai vu votre site. J'ai vu votre visage et j'ai immédiatement su que nous
devions avoir une conversation. C'était un dessin de votre visage, pas vraiment
vous. J'ai simplement eu un contact, et j'ai su. Mais le livre… ensuite je me
suis procurée le livre, et il a tout simplement confirmé ce que j'avais pensé.
Donc, pouvez-vous me parler de la rédaction de votre livre ?
M : Grande question. Question très sérieuse.
Particulièrement importante aujourd'hui.
Le but réel de ce livre… Tout d'abord, c'est eux qui m'ont
demandé de l'écrire. Donc en 1988, quand j'étais à bord de ce vaisseau, ils
m'ont en fait demandé de le faire. Ils m'ont demandé de sortir de l'ombre et de
partager cette histoire, d'expliquer aux gens qui ils étaient et d'où ils
venaient, si bien que si le jour arrivait où… , ou bien quand viendra le moment
où… s'ils devaient faire connaître leur présence au niveau mondial… de façon
que nous n'ayons pas peur.
Donc c'était très
important pour eux. C'était leur seule raison de partager avec moi ces
connaissances et de m'aider à essayer de comprendre la Terre, de nous
comprendre nous-mêmes, et de les comprendre, eux.
Il a été écrit à cette période-là parce que… Il faut que je vous donne
des points de repère. En 1988, j'ai eu ce que j'appelle ma rencontre d'éveil,
et tout part plus ou moins de là. J'en reviens toujours à 1988 quand je décris
aux gens ce qui est arrivé;
Donc on me raconte en 1988 toutes ces choses-là et on me demande de les
partager. Donc j'ai commencé à faire ce qu'ils m'avaient demandé. Et tout d'un coup, ils m'ont dit : "Non, non, non ! Stop,
on arrête tout ! On se calme ! On se calme ! On ne dit plus rien !"
Et je savais qu'un
jour ou l'autre on m'indiquerait le bon moment pour sortir de l'ombre et pour
partager ceci.
Donc au tout début de
2003, on m'a plus ou moins réveillée un matin. Ils m'ont dit : "O.K.,
c'est le moment. C'est l'heure. L'heure d'aller dans la région des Four Corners
–ce que ça voulait dire, je n'en étais pas sûre, mais c'était l'heure pour moi
de… disons, à défaut d'une meilleure expression, de me mettre au travail. Donc
ça s'est produit en 2003. Et ensuite, bien sûr, la rencontre avec
l'ancien hopi, ainsi que beaucoup d'autres choses qui ont eu lieu avant ça dans
la région des Four Corners, et qui sont liées à 1988. Je me suis dit : "O.K.
Il faut que je commence à écrire." Donc le processus était
enclenché.
Ensuite en 2007, presque au début de l'année, j'ai reçu quelques
messages sous des formes très variées. Ils me venaient en rêve. Ils
m'arrivaient, vous savez, dans la tête et on me disait :"Il faut que tu
termines le livre. Il faut que tu termines le livre. Il faut que tu termines le
livre."
Et ils m'ont dit qu'il était très important que je le termine avant
novembre. Et je ne savais vraiment pas pourquoi. Mais ils m'ont dit
novembre 2007 ; il fallait que le livre soit fini, parce que c'était lié à ce
qui allait se passer sur la planète.
Donc je me suis forcée, forcée et encore forcée par tous les moyens
pour parvenir à terminer ma tâche, ce que, soit dit entre nous, j'ai réussi à
faire. Donc le livre était terminé. J'avais fini de l'écrire. Et maintenant on
me demandait de partager cette histoire avec qui voulait bien l'écouter.
Or, on m'a dit en 1988 qu'il fallait que je trouve les autres gens de
mon genre, et qu'il était prévu que nous nous rassemblions tous et que ces
rassemblements commenceraient.
Or, ils m'ont communiqué
des informations. Et ça aussi, je pense, a un rapport avec les peuples
indigènes de la Terre, d'après ce que m'ont dit ces êtres-là. Et ils m'ont dit qu'aux "Temps de la Fin" beaucoup de
changements se produiraient. Donc, à des niveaux très différents. Pas un simple
changement. Et ces choses ne sont pas faciles à décrire.
On m'a dit qu'un de
ces changements concernerait le niveau spirituel, que des changements
commenceraient à se produire. Des changements commenceraient aussi à se
produire au niveau physique. Et aussi au niveau de la planète, de la Terre
elle-même, il y aurait des changements.
Donc toutes ces choses
étaient plus ou moins en corrélation, et écrites par l'humanité elle-même, sur
la voie qui nous attend. Par exemple, il est possible qu'une guerre
éclate. Ça, c'est quelque chose qui me perturbe beaucoup. Ça me panique. Ça me
bouleverse. Et en vous disant ça j'ai envie de pleurer, parce que… Et je
pourrais bien pleurer. [La voix de Miriam se casse, étranglée par l'émotion]
K : Ça ne
fait rien. Continuez.
M : Parce
que si quelqu'un avait dû vivre ce que j'ai vécu ces vingt dernières années,
avait subi expérience après expérience après expérience, confirmation après
confirmation après confirmation, de toutes ces choses, lui non plus n'hésiterait
pas du tout, à aider, à faire tout ce qu'il pourrait pour stopper ce processus.
Parce que nous avons une responsabilité… en tant qu'humains. On m'a dit
que nous avions la responsabilité de faire tout ce que nous pouvions pour
sauver cette Terre. Nous ne sommes pas les sauveurs de la Terre.
Nous sommes censés être ses protecteurs. Nous sommes ici pour être
les régisseurs de ce domaine. C'est en partie pour cette raison que nous sommes
ici, afin de pouvoir vivre des expériences les uns avec les autres et avec la
Terre elle-même.
Mais la manière dont nous vivons notre vie, basée sur des choses comme
la cupidité, l'objectif principal de beaucoup de gens, nous avons oublié la
raison première pour laquelle nous sommes censés être ici. Et cette raison
c'est la beauté qui existe chez l'autre et la beauté de cette Terre.
Une des choses que je demande toujours, à chaque personne, c'est : "Il
faut vraiment que vous vous posiez cette question : êtes-vous heureux ?" C'est
une question très simple. Mais c'est sa réponse qui est très compliquée.
Parce que, comme me l'ont expliqué ces êtres, l'humanité est sur une
voie, une voie qui mène à une collision, et si nous ne changeons pas, le
résultat en sera la Destruction finale.
Sous n'importe quelle forme… Qu’il s’agisse bientôt d’un météore
entrant en collision avec la Terre, ou d’une guerre qui éclate, ou de famine,
ou de changements au niveau de la Terre – de quoi qu’il s’agisse – nous devons
comprendre que l’Homme a la capacité de changer cet avenir et ce qui devait s’y
produire.
Or les gens m'ont dit : "Bon, vous essayez de créer une
prophétie, ou vous évoquez une prophétie."
Mais voici l'important. Pour tous ceux qui comprennent, même très
vaguement, la moindre parcelle de tout ceci, il est facile de comprendre ce qui
s'est passé ici. On nous a fait un cadeau, un cadeau tout à fait
exceptionnel. Et ce cadeau, c'est de voir plus loin que là où nous en sommes
actuellement.
Maintenant, si nous
continuons dans la même direction, ils nous ont prévenus que ça allait être la
fin. Mais le cadeau c'est que, si nous pouvons modifier la direction dans
laquelle nous sommes engagés, alors tous ces événements seront évités, ils ne
se produiront pas.
Voilà donc la raison du livre. C'est la raison qui m'a fait sortir de
l'ombre. Parce que je n'ai pas envie de vous parler en ce moment. Vraiment pas.
Je souhaiterais pouvoir mettre un masque et ne pas être ici. Mais je suis ici,
parce que dans mon cœur, dans mon esprit, dans tout mon être, je sais que nous
sommes engagés sur une voie qui glace le sang.
Et des gens paniquent. Je ne panique pas. Ces larmes ne sont pas de la
peur. Ce sont des larmes de grande tristesse, parce que par elles, grâce à
elles, j'ai vu l'avenir. Donc j'espère que nous allons pouvoir nous regrouper,
en tant qu'humanité, pour changer ça. Et je crois… je crois que nous pouvons
encore le faire.
Je ne pense pas qu'à ce stade il soit possible de tout changer. Je
pense que nous sommes arrivés à une époque où il est devenu apparent, et où il
devient de plus en plus apparent chaque jour, que nous allons droit dans le mur
dans de nombreux domaines.
Au cours de l'année dernière nos ressources en nourriture se sont
raréfiées dans certaines parties du monde. Des problèmes comme le riz, la
maladie de la vache folle, la grippe aviaire. La liste est
incomplète. Ces choses sont devenues évidentes pour tous dans le monde. Le
carburant – le coût du carburant, le prix de l'essence qui affecte chacun dans
le monde.
Mais on peut changer
tout ça très facilement. Et voilà comment nous allons changer la Terre – en
nous entraidant.
K : O.K.
Donc vous avez une mission. Vous êtes en mission et nous sommes ici. Nous
sommes en octobre. Non, en fait, pas en octobre. Nous sommes en septembre 2008.
Pas vrai ? Et aujourd'hui le monde est beau devant ma porte. Pourtant beaucoup
de choses se produisent en ce moment même, pendant que nous discutons. L'économie
américaine dégringole. Il se peut qu'une guerre avec l'Iran soit, vous savez,
en train de se manigancer derrière notre dos. Et d'autres choses encore. Donc
en quoi est-ce que tout ça influe sur l'idée que vous vous faites de votre
tâche, de votre… de la mission qui vous a en quelque sorte été confiée, et
quelles sont vos prochains jalons, ou si vous préférez, vos étapes.
M : Considérant que nous sommes en 2008, c'est pour moi une question
très intéressante, parce qu'elle a… je ne sais même pas combien d'années, et je
ne sais même pas s'il y a lien avec 1988… mais dans une certaine mesure, dans
ma vie de ces vingt dernières années, 2008 est une année qui me colle aux
basques.
Parce que cela fait des années que je sais qu'entre
août et novembre 2008 il y aura des changements majeurs sur la Terre. Et je
veux dire que… Je ne parle pas de changements concernant la Terre elle-même,
mais les gens. Et peut-être que d'une certaine manière, ces changements auront
quelque chose à voir avec les Etats-Unis.
Or j'ai fait cette déclaration tout à fait publique en janvier dernier.
J'ai annoncé ces événements et qu'ils concerneront les Etats-Unis. Et
que ce que feront les Etats-Unis, ce qui se produira ici, affectera le monde
entier, pour toujours.
Donc, si on considère les performances de l'économie américaine, et le
prix du pétrole qui dépend au moins en partie des Etats-Unis, il y a… nous
sommes au début d'une série d'événements qui ne pourra pas être facilement
infléchie, en admettant qu'on puisse le faire.
Donc, ce qu'il faut que les gens comprennent, c'est qu'on m'a dit tout
ceci il y a des années et des années. Et donc ce que je dis, c'est qu'en 2008,
il va y avoir des répercussions économiques sur toute la Terre qui ne pourront
jamais être totalement compensées. Voilà donc le premier changement.
J'ai également vu qu'il y a des possibilités de changement au niveau
mondial, liés davantage à la structure politique de la Terre, probablement au
cours des… 4 ou 6 prochains mois…. Des changements qui auront lieu autour de
cette période. Donc ça termine 2008. Ça annonce un peu ce qui va arriver.
Maintenant, l'autre année qui me préoccupe, et qui me préoccupe
beaucoup depuis 1988, ça n'est pas 2012 comme me l'ont souvent demandé les
gens. 2012, pour moi, d'après les connaissances que m'ont donné ces êtres, ne
mérite même pas qu'on s'y intéresse.
Par contre, l'année 2010, oui. Que va-t-il se passer en 2010 ? On me
pose souvent la question.Et tout ce que je sais, c'est qu'il y a l'éventualité
de graves destructions sur toute la Terre. Est-ce que je peux dire qu'il s'agit
de guerre ? Non. Je ne dirai pas ça. Est-ce que je peux dire qu'il s'agit de
l'arrivée d'un météore ? Je ne peux pas le dire. Ce que je dis c'est que
l'humanité a un rôle à jouer dans la façon dont les choses évolueront en 2010.
Donc imaginons que 2010 se déroule sans anicroche. Vous savez quoi ? Je
ne vais pas venir m'asseoir ici et dire : "Oh, j'avais tort." J'applaudirai
de joie parce que nous aurons évité ce que je vois pour toute cette période.
Donc il n'est jamais
trop tard. La onzième heure reste la onzième heure jusqu'au moment où elle
arrive. Donc nous avons toujours le temps. Nous avons toujours la
capacité de changer quelque chose.
Et je crois que… De toutes ces connaissances que j'ai acquises, et
grâce à tout ce qu'on m'a montré, je sais que nous avons la capacité de
travailler ensemble pour provoquer des changements durables sur Terre, qui
ramèneront le bonheur et la joie que nous sommes venus ici expérimenter ; que
nous mettrons en place une structure pour nos familles et nos communautés
visant à mieux nous occuper les uns des autres et au bénéfice de la Terre
elle-même.
Et en ce moment même, dans cette période particulière, il est vital que
nous commencions à comprendre que nous devons prendre nos responsabilités au
niveau individuel, que nous, en tant qu'individus, nous avons réellement le
pouvoir de changer la Terre d'une manière qui sera bénéfique pour nos enfants,
et pour les gens qui viendront après nous.
Et les gens me demandent : "Qu'est-ce qui rend cette
époque si exceptionnelle ?" C'est parce qu'on nous donne le
choix, le choix de la direction que prendra notre route, où elle nous mènera,
et où elle se terminera.
Si nous décidons de continuer d'être rempli de cupidité… Regardez l'avenir ! Ce n'est pas grand-chose. On peut voir qu'il n'y a
pas de véritable issue à la situation dans laquelle nous sommes à moins de
faire quelques changements. Donc comment y arrive-t-on ? Comment est-ce qu'on
peut modifier ?
Et je dis aux gens –très important. Les gens qui viennent
ici à Project Camelot. C'est un excellent exemple. On appelle ça l'éducation.
La chose la plus importante que peut faire un individu, c'est s'éduquer.
Et je ne parle pas seulement des questions politiques, ou des questions
liées aux extraterrestres, mais je parle de vous éduquer en tant que personne.
Améliorer votre façon de vivre, apprendre à construire une maison, à faire
pousser de la nourriture. Mettez de nouveau les mains dans la Terre de manière
à vous rappeler qui vous êtes, de manière à vous rappeler d'où vient votre nourriture.
C'est ça l'éducation.
Il s'agit aussi de
vous éduquer dans tous les domaines dont vous avez besoin – spirituellement,
émotionnellement, physiquement. Regardez comment vous vivez vos choix.
Personne, moi inclus, n'est parfait. Personne n'est parfait. Mais ce que
nous pouvons faire, quand nous en serons capables, c'est de faire les bons
choix de façon à ce que, progressivement, nous puissions construire un monde
qui évolue dans la bonne direction.
K : O.K.
Donc vous venez ici, pourtant, à Hopiland et Sedona et aux Four Corners. Et
votre mission est de rassembler les gens, d'après ce que j'ai compris.
M : Oui.
K : Et il ne s'agit pas seulement des Indiens d'Amérique.
Est-ce que vous pouvez nous en dire davantage ?
M : Je vais partager avec vous une petite partie de ce qui
m'a été donné il y a vingt ans. Quand j'étais à bord du vaisseau, on m'a
demandé de trouver les gens qui étaient comme moi, de les rassembler et de les
emmener vers les zones protégées, on m'a dit qu'un moment viendrait où tous ces
gens – c'est-à-dire les gens que j'ai vus et qui vivaient… transférés du
Troisième Monde au Quatrième, aussi bien que les autres, ceux qui sont
"comme moi" – de manière à ce que nous revenions tous ensemble. Et quand ce serait le cas, il y aurait de grands changements sur Terre,
en mieux.
Donc ça devient chaque
jour plus clair pour moi… Regardez, avant il fallait des années pour que les
choses se produisent. Ça n'est plus le cas maintenant. Et ça, c'est un point
crucial, parce que les gens ont remarqué que le monde, et leur vie de tous les
jours, tout est en train de changer – notre façon de penser, notre façon
d'agir. Il y a des gens qui semble vivre leur vie sans effort alors que ça en
rend d'autres plus ou moins fous, et ils ne semblent pas avoir de prise sur
eux-mêmes ni sur leur propre espace.
Ce qui se passe
maintenant, c'est que ce rassemblement dont on m'a parlé il y a vingt ans est
en train de se former. Et les gens qui sont comme moi… Il ya sur toute
la Terre des gens qui ont vécu des expériences similaires aux miennes. Et nous
attendons tous le bon moment pour nous lever à l'unisson – à l'Unisson –
et sortir de l'ombre et parler au monde. Parce que, quand le monde se rendra
compte que nous sommes là, et que nous sommes forts, et que nous avons
travaillé chacun à notre manière pour améliorer la Terre, et pour améliorer nos
sociétés, je crois qu'ils n'auront pas d'autre choix que de regarder autour
d'eux et de demander "Bon d'accord, qu'est-ce qu'on doit faire
?"
Parce que nous ne sommes pas des fous. Les gens dans mon
genre vivent une vie tout à fait normale. Et comme je le dis dans le livre,
nous pourrions être votre meilleur ami ou voisin. Nous pourrions être le
directeur de l'école. Nous pourrions être votre administrateur, ou
n'importe quoi dans la vie. Vous pourriez même être marié à quelqu'un comme
moi, sans le savoir. Mais quand le moment viendra, nous nous lèverons tous
ensemble, et nous sortirons de nos placards pour faire connaître notre présence
au niveau mondial.
Donc quand les gens me parlent de ce moment-là, et où ils me demandent
systématiquement :"Est-ce que ces êtres vont se montrer à nous ? Est-ce
qu'ils vont se révéler au monde entier ?", je leur réponds que pour
moi ces grands êtres blonds sont ici comme Protecteurs (Caretakers) de cette
Terre, et qu'ils ne se montreront pas en masse au niveau mondial, à moins que
cela devienne absolument nécessaire – par exemple en cas de grand cataclysme
qui balaierait le monde entier, alors ils interviendraient. Mais ils ne le
feraient qu'à ce moment-là.
Maintenant, nous – les gens dans mon genre – sommes ceux qui pourraient
sortir de l'ombre dans le monde entier et à l'échelle mondiale. Et c'est une
des questions qu'on m'a posées si souvent, et c'est un point très important que
les gens doivent comprendre. Que quand ils disent qu'ils vont sortir de
l'ombre, eh bien oui, nous allons sortir. Nous allons sortir de chez vous, de
vos écoles, de l'arène politique locale, et de vos écoles maternelles comme
institutrices. C'est de là que nous allons sortir en premier.
K : Et est-ce que ça ne va pas aussi… Il y a un élément
vraiment crucial impliquant les enfants. Et les rassemblements vont en fait
causer une sorte de vague sur toute la planète qui va toucher et stimuler tous
les Enfants Indigo et tous les Enfants de Cristal – donnez-leur le nom que vous
voulez – et ils sauront soudain à cause de ce rassemblement que l'heure est
venue, si je comprends bien.
M : Vous avez tout à fait compris. Et il est important de
noter que , également au moment où ces rassemblements auront lieu, et qu'ils
auront… Vous savez, on peut dire que ces rassemblements ont déjà lieu en petits
comités sur toute la terre.
Le grand
rassemblement, ce sont certains individus, certains groupes qui se rapprochent
parce qu'ils ont une certaine importance et à… -- par "importance",
je veux simplement dire qu'ils possèdent certaines connaissances. Donc, dans le
monde entier, des gens ayant certaines connaissances vont se rassembler, et
quand ils seront ensemble, ils diront certaines choses. Et le résultat,
ça sera un message envoyé aux individus, aux enfants, aux jeunes adultes, à…
vous savez, aux gens de 70 ans.
Mais il y aura un message pour tous ceux qui attendent, qui attendent.
Nous le ressentons tous. Tout le monde le ressent depuis très longtemps. Qu'est-ce que nous attendons ? C'est comme commencer à s'agiter sur une
chaise. Qu'est-ce que nous attendons ? Nous attendons quelque chose.
Une des choses que les
gens attendent, c'est que cet événement ait lieu. C'est ce que je crois parce
que c'est ce qu'on m'a dit il y a vingt ans, qu'il y aurait une vague qui irait
chercher ces personnes et leur enverrait presque un message leur disant "O.K.
Vous n'êtes plus seuls Eveillons-nous tous ensemble et commençons à nous lever
et à nous faire connaître en masse, de toute le Terre." Parce
qu'alors des individus prendront des responsabilités.
Mais cela signifie aussi que les gens terrés chez eux de peur de
sortir, comme nous sortirons tous ensemble, on ne nous ridiculisera plus, mais
nous aurons… il y aura des gens qui diront :"O.K. Dites m'en davantage
sur la voie que vous suivez."
Parce qu'il y a plus d'un aspect à ce phénomène. Et je ne suis pas ici
pour parler aux gens ou les informer sur le côté négatif. Ce que je suis en
train de dire, c'est que ces connaissances, cette voie, cette compréhension que
je tiens de ces grands blonds, concernent notre propre édification, notre
propre développement, nous aident à comprendre qui nous sommes, et d'où nous
venons. Et il n'y a pas d'intentions cachées.
Il se peut que nous n'ayons pas toutes les réponses. Il se peut que je
n'aie pas toutes les réponses. Mais si vous me placez dans une pièce avec
beaucoup d'autres gens, alors nous avons une vue d'ensemble. Donc dire qu'il y
a d'autres choses en route, ne correspond pas à la réalité, à mon avis.
Donc il est important que nous nous rassemblions tous pour la Terre, en
masse, et cela va arriver, très bientôt j'espère.
K : [A Bill Ryan] O.K. Maintenant nous avons le temps
de vous permettre de poser votre question, puis nous pouvons revenir en arrière
et compléter ce que nous pourrions avoir manqué en cours de route. D'accord ?
Bill Ryan : J'ai
une question que beaucoup des gens qui nous regardent en ce moment aimeraient
sans doute poser. Et il s'agit de celle-ci : quand vous parlez des
Quatre Mondes, mentionnés à la fois par vos contacts extraterrestres et
présents sous la même forme dans la légende hopi, est-ce que vous pouvez
confronter ceci à la pensée scientifique traditionnelle concernant les
fossiles, l'évolution de l'Homme ? Est-ce que vous pouvez y associer une
date ? Qu'est-ce que ceci signifie en réalité pour un paléontologue ou un
anthropologue ? Pouvez-vous répondre à cette question, ou bien est-ce qu'on
n'en sait rien ?
M : Cette question m'intéresse parce que… Ce qui me permet
d'expliquer ceci c'est qu'on m'a communiqué des connaissances quand j'étais à
bord du vaisseau. C'est comme si on m'avait éduquée dans de
nombreux domaines. D'accord ? Un des domaines concernait l'évolution de l'Homme
et d'où nous venions, où nous allions. Donc ici c'était comme si j'étais,
disons, au CP ou au Cours Elémentaire. Donc je ne connais pas grand-chose sur
ces différents Mondes. Je ne suis pas une spécialiste. Mais je sais
qu'il y a d'autres gens comme moi ailleurs avec une connaissance bien plus
profonde de la question.
Ce qui m'est devenu très clair dans les visions qu'on m'a montrées sur
l'écran, c'est par exemple, qu'au début c'était comme s'ils avaient semé les
graines de vie sur toute la terre et attendu qu'une vie se forme, sans
résultat. Donc nous n'étions rien d'autre, vous savez, que des vers dans de la
boue. C'est l'image qui m'est venue à l'esprit.
B : Donc ça remonte à des milliards d'années.
M : Oui, oui. Dans le Deuxième Monde qu'on m'a montrée, dans
le Deuxième Monde, quand cette forme de vie très grotesque a été produite et
qu'ils attendaient qu'elle évolue pour voir si elle ferait un hôte correct pour
cette étincelle de vie – donnez-lui le nom que vous voulez, moi je l'appelle
l'étincelle de vie – afin qu'elle facilite une vie spirituelle et
une plus grande compréhension de l'univers.
Mais ceci… dans le Deuxième Monde, la vie formée était très, très… "simple", c'est le mot qui m'est venu. Très simple et
primitive, et en fait elle n'a pas évolué. Donc, en ce qui me concerne,
quand je regarde ça… Bien sûr, quand je suis revenue de cette expérience, il
m'a fallu un certain temps pour être même capable d'intégrer tout ceci, de
l'associer au monde, j'ai pu clairement voir qu'il s'agissait de l'Age des
Dinosaures.
Ensuite, dans le Troisième monde, on me montrait la Terre vue du dessus
et puis à nouveau placée à l'intérieur de la pièce où se trouvaient les gens
transférés du Troisième Monde dans notre Monde. Et quand on me
montrait les choses vues du dessus, j'ai vu une très grande ville très, très
illuminée. Donc il y avait des grandes villes, mais pas sur toute la
Terre. Elles étaient seulement situées dans des zones limitées ici ou là.
Et donc quand moi, en tant que Miriam, réexamine ceci par le biais de
l'histoire, je le vois comme un de ces "Mondes Perdus" qu'on a
recherchés, et certains d'entre eux, des parties d'entre eux , ont été
découverts au cours de notre vie, ou au cours des derniers siècles.
Donc ces trois Mondes, dont on a parlé avant celui-ci… Le sens de tout
ça est très clair pour moi, malgré mes connaissances très limitées en
anthropologie, en paléontologie et dans tout le reste. Il me semble simplement
évident que c'était ça les différents Mondes.
B : D'accord. Ma question suivante, qui dérive de ça, est
qu'il ressort, d'après ce que vous dites, que vous évoquez l'échelle du temps
en liaison avec la responsabilité des Protecteurs (Caretakers). Je crois que
vous les appelez comme ça. D'autres Contactés, bien sûr, leur ont donné
d'autres noms. Certaines personnes les appellent "The
Watchers" ("Les Observateurs"). Jim Sparks les appelle "The
Keepers" ("Les Gardiens"). Tous ces termes sont des
approximations, probablement transposées dans notre langue, pour qualifier une
sorte de race tutélaire. Peut-être pourrions-nous également utiliser le terme
de "Tuteurs".
Mais l'échelle de
temps dont ils parlent semble vaste. Nous faisons allusion à des centaines de
millions d'années au minimum et peut-être même à des milliards d'années. Quel
est le degré d'avancement de ces gens ? D'où viennent-ils ? Qui sont-ils
? Ou bien, ne sont-ils pas extraterrestres ? Sont-ils des voyageurs du temps ?
Sont-ils nous d'une certaine manière, comme certaines
personnes le prétendent, à mon avis de façon convaincante ? Savez-vous quelle
partition est jouée ici ? Et en quels termes sont-ils avec les autres races
extraterrestres dont vous devez avoir entendu parler ?
M : Oui.
Tout d'abord j'aimerais discuter des différents noms : Les Gardiens, Les
Observateurs, Les Protecteurs. Je leur donne moi-même tous ces noms, et ma
raison pour le faire, c'est en partie parce qu'ils sont tout
ça. Ils nous observent réellement ; ils prennent vraiment soin de nous ; ils
sont nos protecteurs ; et ils préservent les connaissances. Dans mon
livre, j'écris qu'ils sont les Gardiens de la Connaissance, que sont aussi les
peuples autochtones. Eux aussi sont les Gardiens de la Connaissance, etc. Donc
tous ces termes que nous utilisons pour les décrire, sont à mon avis corrects.
L'autre question était à quelle échelle est-ce que nous faisons
référence en ce qui concerne le temps ? Maintenant, tel qu'une fois de plus je
comprends les choses, d'après ce qu'ils m'ont dit à bord du vaisseau, eux aussi
cherchent à connaître "Dieu" – c'est-à-dire le créateur de tout ce
qui existe, a existé ou existera, le créateur de tout, le commencement de tout,
la source de toutes choses.
On leur a donc donné
une tâche à accomplir. C'est comme si on disait, vous savez, c'est une question
de métier. Quand vous vous levez le matin et que vous allez au boulot, c'est
votre métier. Vous faites ce que vous savez faire. Eh bien, quand nous sommes
ici sur Terre, c'est la même chose pour eux : c'est leur métier. Ce sont les
Protecteurs de la Terre, et c'est ce qu'ils ont toujours fait.
En ce qui concerne la période d'où ils viennent, on m'a également
indiqué que certains d'entre eux viennent de notre passé, d'autres de notre présent
et de notre avenir parce que, de la façon dont on m'a décrit le temps, ils
avaient la capacité de se promener dans le temps et dans notre présent. Ils avaient réellement cette capacité. Comment ? Il faudrait le leur
demander, parce que je n'en ai aucune idée. [Rires]
Mais ils m'ont également dit que certains d'entre eux étaient des êtres
physiques et qu'ils n'étaient pas différents de vous ou moi. Qu'ils vivaient
sur Terre. Qu'ils vivaient en fait sous la Terre, à
l'intérieur de la Terre. Que d'autres étaient des êtres
inter-dimensionnels, et qu'il y en avait d'autres sur différentes planètes. Que
tous étaient créés dans ces différents secteurs avec la même tâche à accomplir,
et qu'ils avaient la capacité de communiquer entre eux. C'est un peu comme s'ils étaient cousins.
C'est donc une
question très complexe parce tout ça est très difficile à expliquer. J'ai
beaucoup de mal à trouver les mots pour dire les choses clairement.
B : Notre
contact Henry Deacon, qui a été confronté à ces situations sous un angle tout à
fait différent, en travaillant sous contrat pour les militaires et les services
de renseignements américains, a affirmé qu'il y faudrait un livre d'au moins
mille pages, et qu'il ne se sentait pas du tout le courage de l'écrire. [Rires] Ou
peut-être a-t-il même parlé de dix mille pages. Peut-être n'a-t-il pas essayé
de compter.
Et l'impression que j'en ai retiré c'est que cette toile de fond
historique est si complexe, si alambiquée, dépassant presque la compréhension
humaine, une toile de fond si incompréhensible, que l'on peut se demander qui
nous sommes pour nous permettre d'essayer d'éclaircir tout ceci. Nous avons en
fait nos propres problèmes. Tout le reste n'est que curiosité intellectuelle.
Mais le fait est qu'ils sont là. Il semblerait qu'au moins certains d'entre eux
se soucient de nous.
Ma question a un rapport avec les militaires et les services de
renseignements américains. Savez-vous quelque chose sur les relations possibles
entre ces derniers et les militaires ? Ou bien travaillent-ils avec un autre
groupe d'aliens ? Est-ce que vous savez quelque chose à ce sujet, ou bien
est-ce une question à laquelle vous ne pouvez pas répondre ?
M : La question, c'est : "Est-ce que j'y
répondrai ?" Ces êtres ne m'ont rien dit
directement d'une quelconque relation avec un quelconque gouvernement ni aucun
groupe sur Terre. Donc que les choses soient claires de ma part. On ne m'a
jamais donné d'informations directes à ce sujet. Ils ne m'ont jamais dit : "Oui,
nous travaillons avec ces gens-là ; nous travaillons ici avec cette
personne-là."
Cependant, on m'a
montré et parlé de certaines choses d'une nature plus inquiétante, et on m'a
avertie de certaines choses. Par exemple, un jour on m'a montré … C'est difficile,
ça m'est difficile d'en parler. On m'a montré l'image d'un être dans une base
souterraine qui… Ce qui se déroulait là-bas était si inquiétant, si
moche et si horrible qu'il m'a été difficile d'être témoin de ça.
Je ne sais pas comment le dire en douceur, mais ça concernait… J'ai vu
l'image d'êtres et de créatures qu'il semblerait impossible à un humain
d'imaginer voir dans la vie réelle. Or ce qui est arrivé… Le jour où on m'a
montré ça, j'étais dans l'astral, et l'être, le grand blond avec lequel
j'étais, m'a dit : "Il faut que tu sois très silencieuse, parce
que sinon ils sauront que nous sommes ici. Et surtout ne viens
jamais dans ce secteur précis. C'est très dangereux pour toi." Et
j'ai répondu " O.K. d'acc. Je ne viendrai pas
dans le coin."
Donc, est-ce que ces
grands blonds s'associent avec certains groupes sur la planète ? Non, pas à ma
connaissance.
Vous m'avez posé une
question sur ces autres êtres, familiers à beaucoup de gens, qui… un des plus
grands groupes, c'est celui des Gris. Je n'ai pas d'informations de première
main, mais voici ce que m'en ont dit les grands blonds : qu'ils sont ici pour
prendre soin de la Terre et qu'ils nous aident généralement à nous protéger de
nous-mêmes et font d'autres choses dont nous ne pouvons pas avoir conscience.
Donc, est-ce que ça veut dire d'autres êtres ? Absolument. Est-ce que
ça signifie la présence d'autres êtres sur la planète ? Absolument. Est-ce que
je suis ici pour vous parler de ces autres êtres ? Non. Parce que je veux
que le message des grands blonds soit réellement clair pour les gens : qu'ils
viennent en paix et qu'ils n'ont aucune intention de nous faire du mal.
Ils ne viennent pas ici pour
conquérir la Terre. Ça n'est pas leur but. Si ça avait
été leur but, ils l'auraient fait depuis longtemps, très longtemps. Et ils
n'ont pas de sombres intentions au sujet du programme génétique qu'il sont en
train de mener. Et je souhaite en parler parce que c'est très important pour
les gens de la Terre.
Dans le Troisième
Monde, les individus qui ont été créés, l'ont été dans un but de développement
spirituel. Et quand se déroulait ce développement spirituel, toute cette
connaissance liée à l'esprit et à la vie faisait partie de qui nous sommes,
d'où nous venons, et de là où nous allons. Mais une fois de plus, comme je l'ai
déjà dit, c'était donner des allumettes à des enfants. Ils ne s'en sont pas
très bien tirés. Donc ce qui se produit depuis nos débuts comme humanité
c'est qu'on a donné à différentes familles partout sur Terre ces informations
génétiques précises concernant notre génome. D'accord ?
Et en cours de route, certaines familles sont "suivies" par
ces Protecteurs (Caretakers), non pas avec de sombres intentions, mais pour
nous aider à ce que, très progressivement, ces véhicules dans lesquels nous
vivons, dont nous faisons partie, puissent supporter ce surplus d'informations
et de connaissances. Parce que, bien sûr, notre cerveau n'est rien d'autre
qu'un ordinateur dépendant d'une charge électrique de notre corps. Donc si nous
sommes en surcharge électrique, nous ne pouvons pas gérer les circuits de cet
influx d'informations, et nous devenons fous.
Donc ces familles ont
très progressivement acquis leur ADN, de nouveaux brins d'ADN, pour permettre
une meilleure compréhension, une plus grande connaissance, un plus grand
respect de nous-mêmes et de la Terre. Et c'est ce qui est arrivé chez les
familles qui ont été suivies. Et c'est pourquoi il serait intéressant de
refaire la route à l'envers jusqu'à nos origines, afin de voir l'évolution de
l'arbre généalogique de certaines de ces familles au fil du temps.
K : Est-ce
que… En fait, c'est… Les Gris œuvrent d'une certaine manière à… Il
existe au moins une faction qui travaille pour les grands blonds, appelez-les
comme vous voulez, parce qu'à propos de votre expérience de 1988, vous évoquez
aussi des êtres d'1 m 20 de haut. Je suppose que ce sont des Gris qui vous ont
conduite dans le vaisseau, au moment où vous avez rencontré les grands blonds.
Donc ce qui se passe, c'est que les Gris s'occupent en fait de la, disons,
manipulation génétique, sous la direction peut-être de ces êtres supérieurs.
M : Seulement
jusqu'à un certain point. Et il faut essayer d'être plus clair ici -- et c'est
une des choses qui m'ont, personnellement, beaucoup frustrée dans tout ce
phénomène – les termes que nous utilisons pour décrire de quoi nous parlons.
Par exemple, quand personnellement j'utilise le mot Gris, la
première image qui me vient à l'esprit, c'est celle d'un être à la peau ridée,
et qui pour moi personnellement ne possède pour toute énergie que celle de la
peur. Ils ont… Leur tête est plus grande, mais pas énorme. Ils ont les yeux
légèrement obliques. Des caractéristiques de ce genre.
Quand je parle de ces Gris-là, si vous voulez les appeler comme ça,
ceux-là font 1 m 20 de haut, ils ont les yeux ronds et ressemblent presque à
des robots. Ils n'ont aucune caractéristique particulière. Ils sont très
androgynes. Les autres Gris à la peau ridée et au petit nez, ceux-là sont d'une
race complètement différente. Donc là il faut être précis.
Voici ce que je raconte également aux gens. Il y a quelque chose à dire
concernant la compréhension des gens quand quelqu'un dans mon style sort de
l'ombre. Quand nous vous parlons de nos expériences, nous ne vous parlons pas
seulement de leur nature, mais aussi de ce que nous avons ressenti, de ce que
nous avons compris, et de tout ce qu'ils nous ont enseigné.
Donc c'est très important, parce que si cinq personnes sont témoins
d'un accident de la route, les cinq personnes vont raconter une histoire
légèrement différente. Donc la vraie question, c'est : est-ce que la personne
qui raconte l'histoire raconte bien la vérité ? Est-ce qu'elle n'est
pas du genre à, vous savez bien, enjoliver ? Il faut en tenir compte. Est-ce
que la personne est un témoin pointilleux, est-ce qu'elle donne tous les
détails ? Vous savez bien, il faut faire attention à l'individu pour être sûr
de savoir comment prendre le récit.
Donc quand on en vient
à ces êtres, certains individus m'ont dit qu'on avait vu ces Gris avec des
grands blonds et que leurs intentions sont très louches. Mais voici ce que j'en
dis. Et, une fois de plus, nous avons besoin de plus de précisions sur ce
phénomène. Je prie pour que s'il y a de ces êtres… Je demanderais aux
témoins de réfléchir à ceci.
Si des Protecteurs nous examinent et nous observent, et s'ils ont un
lien quelconque avec Dieu, par la forme ou l'aspect, qu'ils ne me jugent pas
par rapport aux gens malfaisants de cette Terre – parce que nous avons tous la
même apparence. Nous nous ressemblons tous. Donc, parce que je suis blanche, je
prie pour ne pas être jugée en fonction du mal causé par d'autres Blancs.
Donc quand vous rencontrez un de ces êtres, que ce soit dans vos rêves,
où ils peuvent pénétrer, ou dans l'astral, ce qui signifie que votre corps
lumineux quitte votre corps physique, ou que ce soit une rencontre physique,
posez-vous cette question, en partant d'ici : [Miriam
montre son cœur] "Est-ce que je ressens une vraie peur, ou bien
est-ce que j'ai seulement un peu peur ? Est-ce que j'ai peur ou bien suis-je
terrorisée ?" Parce que si vous êtes terrorisé(e), il faut que
vous vous en rendiez compte, et il faut que vous vous disiez : "Non,
je ne vais pas le faire. Je ne vais pas participer à ça. Je ne prends pas part
et ne vais pas prendre part à ça."
K : D'accord.
Ils ont besoin de se protéger. Et ils ont ce pouvoir.
M : Oui.
K : Et ils
ont besoin de savoir qu'ils ont ce pouvoir.
M : Oui.
K : Et ça,
c'est un message très important.
M : Oui.
C'est très important. Les gens l'oublient. Ils pensent : "Oh, je
ne peux rien y changer. Je n'ai aucun pouvoir là-dessus." En
cas de contact, vous avez réellement un certain pouvoir face à
ce phénomène. Et c'est vraiment important de vous protéger de cette manière-là,
mentalement.
Et c'est pourquoi, une fois de plus, ces grands blonds insistent sur le
fait que nous devons nous éduquer, non seulement à propos de ce qui nous
entoure, mais aussi à un niveau plus spirituel, parce que plus vous êtes
éveillé au niveau spirituel, plus vous devenez fort, plus vous savez comment
faire pour avancer spirituellement, dans l'astral et dans les rêves, afin de
pouvoir vous protéger de certains des autres êtres.
Tous autant qu'ils sont. Tous les êtres qui nous entourent, que ce
soient les Gris ou les grands blonds, chaque fois que j'en rencontre un
individuellement, je le fais me regarder dans les yeux. Je les fais me
regarder, pour que… S'ils me regardent ou qu'ils regardent tout autour d'eux,
comme ça [Miriam bouge la tête sporadiquement, d'un côté et de l'autre], je dis
: "Non, non, non."
Je me souviens d'un rêve en particulier, les deux blonds étaient venus
me voir et ils essayaient de me communiquer ce message très, très important. Et
je leur ai dit : "Il faut que vous me regardiez."
Et il m'ont répondu : "Nous n'avons pas le temps. Pas le
temps."
Et j'ai répliqué : "Non. Ou bien vous vous arrêtez et vous me regardez pour que je puisse lire dans vos yeux, ou je ne vous parle pas."
Et j'ai répliqué : "Non. Ou bien vous vous arrêtez et vous me regardez pour que je puisse lire dans vos yeux, ou je ne vous parle pas."
Donc je les ai regardé dans les yeux et je les ai reconnus pacifiques
et sincères. Parce que vous ne pouvez pas regarder quelqu'un, et regarder le
reste de son corps. Quand nous voulons savoir qui est quelqu'un, même dans ce
monde, nous nous arrêtons et nous regardons cette personne dans les yeux. : "Est-ce
je peux la regarder dans les yeux et me sentir à l'aise ?"
Nous constatons immédiatement si quelqu'un a de l'importance pour nous
ou non, donc utilisez cette technique ici aussi. Et si vous ne voulez pas que
cela se produise, dites-le moi. Et continuez à leur dire que vous n'êtes pas
volontaire, et que vous exigez qu'ils arrêtent. Il faut que vous le disiez avec
des mots. Est-ce que ça s'arrêtera ? Je ne sais pas. Ça dépend de votre esprit.
Ça dépend de votre force.
K : O.K. Un
grand merci pour ceci. C'est très important, et je suis contente que
nous puissions évoquer ça ici.
M : Ce que je voudrais dire à tous, c'est que partout sur
Terre des gens dans mon genre sont encouragés à agir. Et cet encouragement
et cette action concernent, je crois, chaque être humain sur cette planète. Je
le crois parce qu'on nous éveille pour nous faire partager avec les gens que de
grands changements sont en train d'arriver et qu'il faut que nous le
comprenions tous.
Quelle est cette
grande nouvelle ? C'est que nous ne sommes pas seuls, c'est qu'on nous
observe, que ce que nous faisons est surveillé par d'autres êtres qui possèdent
sans le moindre doute certaines connaissances que nous n'avons pas. Et qu'il
nous faut être responsables de nous-mêmes – mais seulement comme individus.
Vous n'êtes pas responsable de la Terre. Vous êtes responsable de
vous-même. Acceptez-le. Parce qu'on est en train de nous
éveiller tous, nous nous relions tous les uns aux autres. Où cela nous
mènera, je crois que nous attendons tous de le savoir. Parce que rien n'est
joué d'avance. Nous rédigeons ce plan au fur et à mesure.
Une de mes grandes préoccupations… Dans les images, les visions qu'on
m'a communiquées, dans les informations qu'on a partagées avec moi à bord du
vaisseau, il a beaucoup été question de graines. Et j'essaie toujours de partager cette information avec les gens. Une
des choses qui pourraient sauver la Terre, ce sont les graines, parce que si
chaque individu sur cette planète ensemençait un petit jardin, nous n'aurions
pas besoin de produire autant de pétrole, de transporter autant de choses, de
polluer autant, de fabriquer autant de plastique pour…, vous savez bien. De
tout.
Je donnerais aussi à chaque individu sur Terre un aperçu de notre
raison d'être ici, et lui redonnerais le goût de vivre la beauté qui nous
entoure.
Maintenant, ce que je demanderai à chacun de retenir de toute cette
interview d'aujourd'hui… Si chacun se cultive dans tous les domaines… Je vais
demander à chacun de chercher à savoir ce qui arrive aux graines de la Terre.
Parce que ça préoccupe beaucoup les grands blonds et ça les a toujours
préoccupés, et moi aussi, je me sens concernée par ce que j'ai appris au cours
de ces dernières années sur les graines et ce qui arrive à la Terre. C'est le grand
souci que devrait avoir chaque individu.
Si vous acceptez l'idée que nous ne sommes pas seuls, très bien. Mais
apprenez-en davantage sur les graines parce que cela changera votre vision du
monde et cela changera l'avenir de cette Terre, positivement.
K : Merveilleux. O.K.
C'est très différent de ce qu'on entend habituellement, et je pense qu'il y a
beaucoup de sagesse dans cette manière d'aborder les choses. Vous n'avez
même pas besoin d'énergie “libre” si vous cultivez un jardin, pas vrai ?
M : Exact.
K : Oui.
C'est vraiment une bonne idée.
M : Je voudrais dire quelque chose d'autre. Vous m'avez posé une
question. Vous m'avez posé une question à propos de quelque chose qu'on m'avait
donné, et je sais que tous ceux qui nous regardent vont vouloir y revenir…
K : Exact.
M : …parce que c'est très important. Quand j'étais à bord de
ce vaisseau en 1988, des souvenirs d'enfance me sont revenus, très intéressants
parce qu'ils venaient d'une époque où j'étais très jeune, autour de 4 ou 5 ans.
Et ce souvenir m'est revenu très, très nettement. J'aborde ça en détail dans le
livre parce que pour moi c'est un point crucial du phénomène.
Maintenant, pour raconter cette histoire en quelques phrases, j'ai été
amenée à bord d'un vaisseau à l'âge de quatre ans, et au cours de cet épisode,
ces êtres m'ont donné quelque chose et m'ont demandé de l'enterrer. Et ils
m'ont dit qu'un jour je saurai pourquoi et que je retournerai chercher cet
objet.
On me pose souvent la
question parce que j'ai écrit là-dessus en long et en large tout au long de ma
vie. Le sujet resurgit constamment. Je n'ai pas encore trouvé l'objet.
Je sais dans quel secteur il se trouve, mais je ne l'ai pas encore trouvé.
Une fois de plus, la
question, c'est : Est-ce qu'il s'agit de mon imagination ? Absolument pas.
Parce que j'ai eu trop de fois la confirmation de cette information au fil des
années, en particulier une qui m'a été donnée trente-cinq ans après l'événement
– pardon trente-six ans après l'événement – et une indication très, très nette
que les souvenirs qui me sont revenus étaient limpides.
Donc, est-ce que c'est là ? Je crois que oui. Est-ce que je l'ai trouvé
? Non. Est-ce que je vous le dirai si je le trouve ? Je pense que le monde le
saura si cela m'arrive.
La voie que j'ai suivie ces dernières années, depuis 2003, s'est
révélée de manière très détournée ma force vive. Et j'ai cet objet constamment
à l'esprit. J'ai remarqué que, de 2003 à aujourd'hui, les images que j'en ai se
sont faites de plus en plus claires. Donc, est-ce que ça veut dire qu'il est en
train de me revenir ? Est-ce que ça signifie qu'il revient physiquement vers
moi. Je le crois.
Donc je pense que nous sommes tous, moi y compris, parce que je vis
cette vie, parce qu'elle est si profonde chaque jour même pour moi, et à cause
de ce que j'ai vécu dans le passé. Je ne suis pas différente de n'importe qui
d'autre ici-bas. J'attends de voir ce qui va se passer.
K : Eh bien, merci beaucoup, Miriam. Je vous appelle Miriam Blue Star (Etoile Bleue). Et il y a un
sens à cette Etoile Bleue que vous n'avez pas mentionné. Est-ce que vous
pourriez nous en parler un petit peu ?
M : Oui. L'Etoile Bleue est la prophétie du
peuple hopi. Et une fois de plus, je ne parle pas au nom des Hopi. Pourtant,
quand j'étais dans le vaisseau en 1988, ils m'ont dit qu'un jour apparaîtrait
dans le ciel une étoile que tout le monde pourrait voir. Que rien ou
personne ne pourra cacher sa présence au monde et que ce sera pour le peuple
signe que la fin est proche et qu'il est temps de se préparer.
En 2003, je suis allée
chez les Hopi et je suis rentrée, et ensuite j'ai cherché en ligne
"Hopi", pour en savoir plus sur eux. Et c'est alors que j'ai trouvé
la prophétie hopi qui est identique, de même que le mythe de la création, aux
informations qu'on m'avait données concernant le peuple hopi.
Donc l'Etoile Bleue
est une prophétie du peuple hopi, et on m'a dit que l'étoile apparaîtrait comme
l'annoncent les Hopi. Donc ce que je vous demande de faire, c'est de
faire vos propres recherches sur ces gens et sur tous les peuples autochtones
du monde. Cela vous donnera une grande perspicacité et une grande compréhension
spirituelle.
K : Mais il y a eu une étoile bleue dans le ciel il n'y a
pas si longtemps. Nous traversions le Nouveau Mexique en voiture à l'époque et
les gens en discutaient. Vous ne savez pas vraiment si
c'était la véritable Etoile Bleue ? N'est-ce pas ?
M : Parce
que l'Etoile Bleue est une prophétie du peuple hopi, je ne peux pas dire avec
certitude si c'était bien l'Etoile Bleue. Mais c'est une comète qui a explosé.
C'était… Elle s'appelle 17P/Holmes. Si vous cherchez, vous trouverez
plus d'informations. Et c'est une comète qui a étonné les chercheurs et les
astronomes à cause de ce qui s'est passé après. Elle a explosé et elle
est apparue bleue dans le ciel sur toute la Terre. C'était très, très
clair à l'époque. Oui..
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